Installée à Fehxe-le-Haut-Clocher, Virginia a changé d’orientation professionnelle. Depuis octobre, elle a son studio de tatouage mais comme beaucoup d’indépendants, elle est à l’arrêt à cause de la deuxième vague.

Pour elle, ce n’est pas normal car les tatoueurs ont d’office des normes de sécurité et d’hygiène plus strictes que dans d’autres métiers. Ils disposent notamment d'une attestation obligatoire de "Risques et Prévention" propre à leur activité. 

Virginia a investi des fonds propres dans son activité et n'a pas pu jusqu'a présent la rentabiliser. De plus, elle n’a aucune aide. Son espoir rouvrir en fonction de critères mieux définis.

Si la situation n’évolue pas, et les discours en ce sens sont souvent contradictoires, Virginia envisage des collaborations avec des tatoueurs à l’étranger qui eux peuvent toujours exercer.